Je souffre d’un cancer de la prostate, entraînant une forte fatigue renforcée par une infection sous forme de maladie neurologique entraînant sa propre fatigue.
Cet état me faisait penser à la présence de substances métaboliques nocives, il paraissait naturel d’essayer d’influencer les deux formes de fatigue par des mesures adéquates.
Pour cela, il existe des possibilités par la régulation de l’équilibre acido-basique dans le foie, et par la réduction de l’ammoniac libre produit par la dégradation métabolique des acides aminés provenant de l’alimentation.
Par sa capacité à franchir la barrière sang-cerveau, l’ammoniac gazeux et toxique transporté dans le sang perturbe des fonctions importantes dans le système nerveux central, sources de danger de disfonctionnements neurologiques.
Et quand on sait que l’importance de la charge d’ammoniac dépend en grande partie du milieu intestinal, de la consommation de protéines (mal digérées)… il est simple de comprendre ce qu’il faut faire?!»Le Dr Philippe David (Paris, Liège) a été tôt dans son enfance confronté à des pathologies chroniques et cancers turpides.
Diplômé en 1975 de la Faculté de Médecine de Liège, il se spécialise dès 1997 en Nutrithérapie, à la médecine de la dysfonction et du traitement des causes biochimiques et physio-pathologiques amenant à la pathologie chronique (prévention et traitement).
Il poursuit sa formation par une licence et un Master II à la Faculté des sciences fondamentales et appliquées de l’Université de Poitiers, département micro-nutrition et santé publique.
Il est aujourd’hui chargé de cours au Collège pour la Recherche et la Communication sur les Micro-nutriments à l’Université de Poitiers, et professeur à Paris à la Faculté libre de Médecines naturelles et d’ethno-médecines.
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